Wood density and stocks of coarse woody debris in a northwestern Amazonian landscape.

Coarse woody debris (CWD) is a rarely studied component of the carbon cycle. We report the first measurements of both CWD wood density and necromass in humid, lowland northwestern Amazonia, using both line-intersect and plot-based methods. Average CWD densities were not significantly different between clay-rich and white sand unflooded forests, but lower in floodplain forest (p ≤ 0.001). Necromass of CWD lying on the ground was also lower in the floodplain (10.3 ± 6.1 Mg·ha^–1, mean ± 1 SE) than in the clay-rich (30.9 ± 5.4) and white sand (45.8 ± 7.3) forests (p ≤ 0.001, using the line-intersect method). These patterns are likely driven by disturbance history, species composition, and decomposition rates. Plot-based data showed that standing and fallen CWD together accounted for 6.4%–15.4% of total coarse aboveground vegetative mass (trees ≥10 cm diameter). Across humid, lowland neotropical forests, we show that wood densities of intact and partially decayed CWD are significantly related with live wood density at the same site (p = 0.026 and 0.003, respectively). We show that these relationships can be applied generally to estimate CWD wood density for humid, lowland neotropical forests wherever destructive sampling is not possible. [ABSTRACT FROM AUTHOR]

Les débris ligneux grossiers (DLG) constituent une composante rarement étudiée du cycle du carbone. Nous présentons les premières mesures tant de la densité du bois des DLG que de leur nécromasse dans les basses terres humides du nord-ouest de l’Amazonie en utilisant des méthodes basées sur l’intersection de lignes et sur des placettes-échantillons. La densité moyenne des DLG n’était pas significativement différente dans les forêts non inondées établies sur un sol de sable blanc ou sur un sol argileux mais elle était plus faible dans la forêt établie dans la plaine inondable (p ≤ 0,001). La nécromasse des DLG au sol était aussi plus faible dans la plaine inondable (10,3 ± 6,1 Mg·ha^–1; moyenne ± 1 ET) que dans les forêts sur un sol argileux (30,9 ± 5,4) ou dans les forêts sur un sol de sable blanc (45,8 ± 7,3) (p ≤ 0,001, avec la méthode basée sur l’intersection de lignes). Cette situation est probablement due à l’historique des perturbations, à la composition en espèces et aux taux de décomposition. Les données basées sur les placettes-échantillons révèlent qu’ensemble, les DLG debout et tombés au sol représentent 6,4 à 15,4% de la masse végétale aérienne grossière (arbres ≥ 10 cm de diamètre). Dans les forêts néotropicales humides sur les basses terres, nous montrons que la densité du bois des DLG intacts et partiellement décomposés est significativement reliée à la densité des arbres vivants au même endroit (p = 0,026 et 0,003 respectivement). Nous montrons que ces relations peuvent généralement être appliquées pour estimer la densité du bois des DLG dans les forêts néotropicales humides sur les basses terres partout où il n’est pas possible d’effectuer un échantillonnage destructif. [ABSTRACT FROM AUTHOR]

Copyright of Canadian Journal of Forest Research is the property of Canadian Science Publishing and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This abstract may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full abstract. (Copyright applies to all Abstracts.)