Challenging collective violence: A scientific strategy.

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      For further information or discussion of the content of this paper, readers may contact Dr Mattaini by e‐mail. Potential collaborators in the programs of research outlined here are particularly sought.Collective violence (war, terrorism, violent political conflicts, genocide, repression, organized criminal activity, disappearances, torture, and a range of other abuses of human rights) killed at least 200 million persons directly or indirectly, and injured many more, during the 20th century (Krug, Dahlberg, Mercy, Zwi, & Lozano, 2002). Recent advances in the science of behaviour can help to explain why humans turn so quickly to collective violent actions in response to threat or opportunity, and why such actions are in a real sense “natural.” However, in the contemporary world the potential costs of relying on these nearly automatic responses are unacceptably high. This paper explores the roots of this violence from the perspective of the natural science of behaviour. Strategies for modifying collective violence should take into consideration motivational factors such as verbal processes and cultural perceptions, shifting motivating antecedents, etc. Rules, models, and structural conditions are also relevant. The potential contribution of behaviour science in changing collective violence is very important. The analysis suggests that policy‐makers often rely on responses and preventive strategies that are inherently weak or counterproductive, and often politically manipulated. Potentially more powerful strategies, meanwhile, remain largely unrecognized. Programs of research that expand strategic options could meaningfully contribute to human well‐being, but pursuing this work will require courageous scholarship conducted in solidarity with those at risk.La violence collective (guerre, terrorisme, conflit politique violent, génocide, répression, activité criminelle organisée, disparition, torture et un éventail d'autres abus aux droits humains) a tué au moins 200 millions de personnes directement ou indirectement et a blessé encore plus de gens au cours du vingtième siècle (Krug, Dahlberg, Mercy, Zwi, & Lozano, 2002). Les progrès récents en science du comportement peuvent aider à expliquer comment les êtres humains s'adonnent aussi rapidement à des actes de violence collective en réponse à la menace ou dès que l'occasion se présente, et pourquoi de tels actes sont en réalité «naturels». Cependant, dans le monde contemporain, les coûts potentiels à recourir à ces réponses presque automatiques sont élevés à un point inacceptable. Cet article explore les racines de la violence à partir de la perspective de la science naturelle du comportement. Les stratégies de modification de la violence collective doivent prendre en considération les facteurs motivationnels tels que les processus verbaux et les perceptions culturelles, les antécédents de changements de motivation, etc. Les règles, modèles et conditions structurelles sont aussi appropriés. La contribution potentielle de la science du comportement pour le changement de la violence collective est très importante. L'analyse suggère que les décideurs politiques recourent souvent à des réponses de stratégies préventives qui sont fondamentalement faibles, contreproductives et souvent manipulées politiquement. En contrepartie, les stratégies potentiellement plus puissantes demeurent très peu reconnues. Les programmes et la recherche qui développent des options stratégiques pourraient contribuer significativement au bien‐être humain, mais la poursuite de ce travail requiert des études vaillantes menées en solidarité avec les personnes qui sont à risque.La violencia colectiva (la guerra, el terrorismo, los conflictos políticos violentos, el genocidio, la represión, la actividad criminal organizada, las desapariciones, la tortura, y una variedad de otros abusos de los derechos humanos) mató al menos 200 millones de personas directa o indirectamente, e hirió muchas más, durante el siglo XX (Krug, Dahlberg, Mercy, Zwi, y Lozano, 2002). Avances recientes en la ciencia de la conducta pueden ayudar a explicar por qué los seres humanos utilizan tan rápidamente las acciones de violencia colectiva como respuesta a la amenaza o a la oportunidad de hacerlo, y por qué tales acciones son “naturales” en un sentido real. Sin embargo, en el mundo contemporáneo los costos potenciales de confiar en estas respuestas casi automáticas son inaceptablemente altos. El presente artículo explora las raíces de esta violencia desde la perspectiva de la ciencia natural de la conducta. Las estrategias para modificar la violencia colectiva deben tomar en cuenta factores motivacionales tales como los procesos verbales y las percepciones culturales, los cambios en las motivaciones antecedentes, etc. Las reglas modelos y condiciones estructurales también son relevantes. La contribución de la ciencia del comportamiento para cambiar la violencia colectiva es muy importante. El análisis sugiere que los responsables de las políticas generalmente se fundamentan en respuestas y estrategias preventivas que son inherentemente débiles o contraproductivas, y que con frecuencia están manipuladas políticamente. Por otra parte las estrategias potencialmente más poderosas en muchos casos no se reconocen. Los programas de investigación que amplían las opciones estratégicas podrían en forma significativa contribuir al bienestar humano, pero llevar a cabo este tipo de trabajo requiere investigación valiente conducida en forma solidaria con las personas en riesgo. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
    • Abstract:
      La violencia colectiva (la guerra, el terrorismo, los conflictos políticos violentos, el genocidio, la represión, la actividad criminal organizada, las desapariciones, la tortura, y una variedad de otros abusos de los derechos humanos) mató al menos 200 millones de personas directa o indirectamente, e hirió muchas más, durante el siglo XX (Krug, Dahlberg, Mercy, Zwi, y Lozano, 2002). Avances recientes en la ciencia de la conducta pueden ayudar a explicar por qué los seres humanos utilizan tan rápidamente las acciones de violencia colectiva como respuesta a la amenaza o a la oportunidad de hacerlo, y por qué tales acciones son “naturales” en un sentido real. Sin embargo, en el mundo contemporáneo los costos potenciales de confiar en estas respuestas casi automáticas son inaceptablemente altos. El presente artículo explora las raíces de esta violencia desde la perspectiva de la ciencia natural de la conducta. Las estrategias para modificar la violencia colectiva deben tomar en cuenta factores motivacionales tales como los procesos verbales y las percepciones culturales, los cambios en las motivaciones antecedentes, etc. Las reglas modelos y condiciones estructurales también son relevantes. La contribución de la ciencia del comportamiento para cambiar la violencia colectiva es muy importante. El análisis sugiere que los responsables de las políticas generalmente se fundamentan en respuestas y estrategias preventivas que son inherentemente débiles o contraproductivas, y que con frecuencia están manipuladas políticamente. Por otra parte las estrategias potencialmente más poderosas en muchos casos no se reconocen. Los programas de investigación que amplían las opciones estratégicas podrían en forma significativa contribuir al bienestar humano, pero llevar a cabo este tipo de trabajo requiere investigación valiente conducida en forma solidaria con las personas en riesgo.ABSTRACT FROM AUTHOR [ABSTRACT FROM AUTHOR]
    • Abstract:
      La violence collective (guerre, terrorisme, conflit politique violent, génocide, répression, activité criminelle organisée, disparition, torture et un éventail d'autres abus aux droits humains) a tué au moins 200 millions de personnes directement ou indirectement et a blessé encore plus de gens au cours du vingtième siècle (Krug, Dahlberg, Mercy, Zwi, & Lozano, 2002). Les progrès récents en science du comportement peuvent aider à expliquer comment les êtres humains s'adonnent aussi rapidement à des actes de violence collective en réponse à la menace ou dès que l'occasion se présente, et pourquoi de tels actes sont en réalité «naturels». Cependant, dans le monde contemporain, les coûts potentiels à recourir à ces réponses presque automatiques sont élevés à un point inacceptable. Cet article explore les racines de la violence à partir de la perspective de la science naturelle du comportement. Les stratégies de modification de la violence collective doivent prendre en considération les facteurs motivationnels tels que les processus verbaux et les perceptions culturelles, les antécédents de changements de motivation, etc. Les règles, modèles et conditions structurelles sont aussi appropriés. La contribution potentielle de la science du comportement pour le changement de la violence collective est très importante. L'analyse suggère que les décideurs politiques recourent souvent à des réponses de stratégies préventives qui sont fondamentalement faibles, contreproductives et souvent manipulées politiquement. En contrepartie, les stratégies potentiellement plus puissantes demeurent très peu reconnues. Les programmes et la recherche qui développent des options stratégiques pourraient contribuer significativement au bien‐être humain, mais la poursuite de ce travail requiert des études vaillantes menées en solidarité avec les personnes qui sont à risque. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
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