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Invertebrates associated with residual ballast water and sediments of cargo-carrying ships entering the Great Lakes.
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- Abstract:
Most ships entering the Great Lakes carry cargo and declare “no-ballast-on board” (NOBOB) status. Approximately 250 of these vessels annually load Great Lakes’ ballast water when they offload inbound cargo and then discharge this water (which has now mixed with residual water previously present in the tanks) when they load outbound cargo. This procedure potentially allows nonindigenous species present in ballast residuals to invade the Great Lakes. We collected residual sediment, water, and associated organisms from 38 NOBOB ships entering the Great Lakes. We recorded seven established Great Lakes’ nonindigenous species, including some discovered since ballast water exchange was implemented. Occurrences of species not yet invaded indicate that this vector provides further opportunity for invasion. Collectively, NOBOB vessels appear to constitute a greater risk than ballasted vessels, as they make up a greater proportion of the traffic entering the lakes (~90%), and they do not undergo ballast exchange. Invertebrates in residual water appear to have a greater opportunity for discharge than those in sediments, although most in the water fraction have already invaded this system. Invertebrate numbers in residual freshwater ballast could be dramatically lowered if these vessels flushed with open-ocean water prior to entering the Great Lakes. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Abstract:
La plupart des navires qui pénètrent dans les Grands Lacs sont chargés de marchandises et déclarent n’avoir pas d’eau de ballastage à bord (statut NOBOB). Environ 250 de ces navires chaque année se chargent d’eau de ballastage en provenance des Grands Lacs lors du débarquement des marchandises à destination locale et déchargent cette eau (maintenant mêlée à l’eau résiduelle déjà présente dans les ballasts) lors du chargement des marchandises destinées à l’exportation. Cette procédure permet potentiellement aux espèces non indigènes présentes dans les eaux de ballastage résiduelles d’envahir les Grands Lacs. Nous avons prélevé des sédiments et de l’eau résiduels ainsi que les organismes associés dans 38 navires NOBOB arrivant dans les Grands Lacs. Nous y avons retrouvé sept espèces non indigènes déjà établies dans les Grands Lacs, dont certaines découvertes depuis que la politique d’échange des eaux de ballastage est en vigueur. La présence d’espèces qui n’ont pas encore envahi les Grands Lacs indique que ce véhicule de transmission procure des occasions pour des envahissements futurs. Dans leur ensemble, les navires NOBOB semble constituer un risque plus élevé que les navires qui portent de l’eau de ballastage, parce qu’ils représentent un proportion plus importante (~90 %) du trafic maritime qui pénètre dans les Grands Lacs et qu’ils ne font pas d’échange de leurs eaux de ballastage. Les invertébrés dans les eaux résiduelles semblent être plus susceptibles d’être déversés que ceux dans les sédiments, bien que la plupart de ceux qui sont dans la fraction aqueuse ont déjà envahi le système. Le nombre d’invertébrés dans les eaux de ballastage résiduelles pourrait être considérablement réduit si les ballasts de ces navires étaient rincés à l’eau salée en haute-mer avant leur entrée dans les Grands Lacs.[Traduit par la Rédaction] [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Abstract:
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