Conserving wetlands in agroecosystems can sustain aerial insectivore productivity and survival.

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    • Abstract:
      Agricultural intensification simplifies natural landscapes and frequently results in the loss of biodiversity. Wetlands are highly productive and may offset these losses, but the amount of wetland area needed to support declining avian species on farmland is unknown. Using an avian aerial insectivore, the Tree Swallow (Tachycineta bicolor (Vieillot, 1808)), we tested whether a gradient of pond area (visible surface water in wetland basins within 500 m of nest boxes; range 0.2%–30% pond area) at cropland and grassland sites was related to aquatic insect biomass, reproductive success, and adult female or nestling body condition. Aquatic insect biomass was ∼2–8 times higher at the cropland sites with intermediate (5.2%) pond areas than at sites with the highest (15.6%) and lowest (0.2%) pond areas. Swallow clutch initiation date was ∼3–4 days earlier, and nestling body condition and model-predicted first-year survival were ∼10% higher among cropland sites with more pond area and were comparable to birds hatched at grassland sites. Loss of ponds due to agricultural drainage can reduce aquatic insect prey during the breeding season with apparent individual and demographic consequences for insectivorous birds. Overall, the results suggest that where wetlands are conserved, intensive croplands can sustain Tree Swallow populations. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
    • Abstract:
      L'agriculture intensive simplifie les paysages naturels et entraîne souvent une perte de biodiversité. Si les milieux humides sont très productifs et peuvent compenser de telles pertes, la superficie de milieux humides requise pour soutenir des espèces aviaires en déclin dans des terres agricoles n'est pas connue. Nous utilisons un insectivore aérien, l'hirondelle bicolore (Tachycineta bicolor (Vieillot, 1808)), pour vérifier si un gradient de superficie d'étangs (eau de surface visible dans des bassins de milieux humides en deçà de 500 m de nichoirs; superficies d'étangs allant de 0,2 % à 30 %) dans des sites de terre cultivée et de prairie est associé à la biomasse d'insectes aquatiques, au succès de reproduction et à l'embonpoint des femelles adultes ou des oiseaux niais. La biomasse d'insectes aquatiques est d'environ 2 à 8 fois plus grande dans le site de terre cultivée caractérisé par une superficie d'étangs intermédiaire (5,2 %) que dans les sites présentant la plus grande (15,6 %) et la plus faible (0,2 %) superficies d'étangs. La date d'initiation de la ponte des hirondelles est de ~3–4 jours plus hâtive et l'embonpoint des oiseaux niais et leur taux de survie modélisé durant leur première année sont de ~10 % plus élevés dans les sites de terre cultivée de plus grande superficie d'étangs et sont comparables à ceux d'oiseaux éclos dans les sites de prairie. La disparition d'étangs due au drainage agricole peut réduire la biomasse d'insectes aquatiques proies durant la période de nidification, ce qui se traduit par d'apparentes conséquences individuelles et démographiques pour les oiseaux insectivores. Globalement, les résultats indiqueraient que, là où les milieux humides sont conservés, les terres en culture intensive pourraient soutenir des populations d'hirondelles bicolores. [Traduit par la Rédaction] [ABSTRACT FROM AUTHOR]
    • Abstract:
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