- Alternate Title:
Les serpents ratiers, les vachers à tête brune et les lianes réduisent la survie des nids de passereaux dans les dernières forêts feuillues des basses terres de l'est et du centre de l'Arkansas.
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- Abstract:
Predation is often the leading cause of nest failure among passerines; however, specific causes are often unknown or can be misidentified in the field. Therefore, it is critical to improve our understanding of causes of nest predation and factors that influence passerine nest success. In the remnant bottomland hardwood forests of east-central Arkansas, we monitored 282 passerine nests during summers 2010-2012, including 81 nests at which we deployed video cameras. We calculated daily survival rates (DSRs) across species, locations, and years and determined which temporal, biological, and habitat variables correlated with nest success. We also estimated predation rates by specific predator groups. Our largest sample-sized species, Indigo Buntings (Passerina cyanea, n = 143 nests) and Northern Cardinals (Cardinalis cardinalis, n = 97 nests), had similar mean DSRs (0.932 ± 0.01, 0.924 ± 0.01, respectively). Predation by all species and parasitism by Brown-headed Cowbirds (Molothrus ater) together were the most frequent causes of nest failures (29% and 33%, respectively), although black rat snake (Pantherophis obsoletus) was the most frequent predator (37% of known predation events). Nest stage and number of vine tents best explained variation in DSRs; however, predictors of predation rates varied across predator groups. For example, vegetation density negatively influenced the probability of nest predation by snakes and mammals, but positively influenced the probability of nest predation by cowbirds and did not influence the probability of nest predation by other avian predators. Using camera systems can help elucidate nest fate patterns and predation trends across species and highlight factors such as time of predation, accurate nestling age, and interspecific interactions. Importantly, our predator-specific results suggest managers should consider techniques suitable for the suite of passerines and predators in their local ecosystems to alleviate high predation pressure, facilitate successful reproduction, and ultimately, population persistence. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Abstract:
La prédation est souvent la cause principale de l'échec des nids de passereaux ; toutefois, les causes exactes sont parfois inconnues ou peuvent être mal identifiées sur le terrain. En conséquence, il est essentiel d'améliorer notre compréhension des causes de la prédation des nids et les facteurs qui influencent le succès des nids de passereaux. Dans les dernières forêts feuillues des basses terres de l'est et du centre de l'Arkansas, nous avons observé 282 nids de passereaux pendant l'été de 2010 à 2012, dont 81 nids sur lesquels nous avons déployé des caméras vidéo. Nous avons calculé les taux de survie quotidiens (TSQ) selon les espèces, les sites et les années et avons identifié les variables temporelles, biologiques et d'habitat qui sont corrélées au succès des nids. Nous avons également estimé les taux de prédation en fonction de groupes spécifiques de prédateurs. Les espèces pour lesquelles nous disposions des échantillons les plus importants, le passerin indigo (Passerina cyanea, n = 143 nids) et le cardinal rouge (Cardinalis cardinalis, n = 97 nids), présentaient un TSQ moyen similaire (0,932 ± 0,01, 0,924 ± 0,01, respectivement). La prédation par toutes les espèces et le parasitisme par les vachers à tête brune (Molothrus ater) réunis étaient les causes les plus fréquentes de l'échec des nids (29 % et 33 % respectivement), même si le serpent ratier noir (Pantherophis obsoletus) était le prédateur le plus répandu (37 % des événements de prédation connus). L'emplacement des nids et le nombre d'enchevêtrements de lianes sont les éléments qui expliquent le mieux les variations de TSQ ; toutefois, les indicateurs de taux de prédation variaient selon les groupes de prédateurs. Par exemple, la densité de la végétation affectait de manière négative la probabilité de prédation des nids par des serpents et des mammifères, mais influait de manière positive sur la probabilité de prédation des nids par les vachers à tête brune, tout en restant sans effet sur la probabilité de prédation des nids par d'autres oiseaux prédateurs. L'utilisation de caméras peut contribuer à élucider les modèles de sort des nids et les tendances de prédation selon les espèces et mettre en évidence des facteurs tels que l'heure de prédation, l'âge exact des oisillons et les interactions entre les espèces. Plus important, nos résultats spécifiques aux prédateurs suggèrent que les responsables devraient envisager des techniques adaptées à la surveillance des passereaux et des prédateurs dans leurs écosystèmes locaux afin d'alléger la pression liée à la forte prédation et de faciliter la reproduction et finalement, la survie de la population. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
- Abstract:
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