(Internet) Gaming Disorder in -5 and -11: A Case of the Glass Half Empty or Half Full: (Internet) Le trouble du jeu dans le -5 et la CIM-11: Un cas de verre à moitié vide et à moitié plein.

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    • Subject Terms:
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    • Abstract:
      Background: Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders (DSM-5) included in 2013 Internet gaming disorder (IGD) as a condition for further study, and in 2018, the World Health Organization included gaming disorder (GD) as a mental disorder in the International Classification of Disease (ICD-11). We aim to compare disorders of gaming in both diagnostic systems using a sample of young adults in Mexico.Methods: Self-administered survey to estimate the prevalence of DSM-5 IGD and ICD-11 GD in 5 Mexican universities; 7,022 first-year students who participated in the University Project for Healthy Students, part of the World Health Organization World Mental Health International College Student Initiative. Cross-tabulation, logistic regression, and item response theory were used to inform on 12- month prevalence of DSM-5 IGD and ICD-11 GD, without and with impairment.Results: The 12-month prevalence of DSM-5 IGD was 5.2% (95% CI, 4.7 to 5.8), almost twice as high as the prevalence using the ICD-11 GD criteria (2.7%; 95% CI, 2.4 to 3.1), and while adding an impairment requirement diminishes both estimates, prevalence remains larger in DSM-5. We found that DSM-5 cases detected and undetected by ICD-11 criteria were similar in demographics, comorbid mental disorders, service use, and impairment variables with the exception that cases detected by ICD-11 had a larger number of symptoms and were more likely to have probable drug dependence than undetected DSM-5 cases.Conclusion: DSM-5 cases detected by ICD-11 are mostly similar to cases undetected by ICD-11. By using ICD-11 instead of DSM-5, we may be leaving (similarly) affected people underserved. It is unlikely that purely epidemiological studies can solve this discrepancy and clinical validity studies maybe needed. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
    • Abstract:
      En 2013, le DSM-5 a inclus le trouble du jeu sur Internet (TJI) qui nécessitait des études supplémentaires et en 2018, l'Organisation mondiale de la santé a ajouté le trouble du jeu vidéo (TJV) comme trouble mental dans la CIM-11. Nous visons à comparer les troubles de jeu dans les deux systèmes diagnostiques à l'aide d'un échantillon de jeunes adultes du Mexique. Un sondage auto-administré visait à estimer la prévalence du TJI-DSM-5 et du TJV-CIM-11 dans 5 universités mexicaines. Des étudiants de première année au nombre de 7 022 ont participé au Projet universitaire pour étudiants en santé (PUERTAS), dans le cadre de l'Initiative mondiale des étudiants du Collège international de la santé mentale de l'Organisation mondiale de la santé (WMH-ICS). La tabulation croisée, la régression logistique et la théorie de la réponse d'item ont servi à nous renseigner sur la prévalence de 12 mois du TJI-DSM-5 et du TJV-CIM-11, avec et sans exigence de dépréciation. La prévalence de 12 mois du TJI-DSM-5 était de 5,2% (IC à 95% 4,7 à 5,8), presque deux fois aussi élevée que la prévalence utilisant les critères du TJV-CIM-11 [2,7% (IC à 95% 2,4 à 3,1)], et même si l'ajout d'une exigence de dépréciation diminue les deux estimations, la prévalence demeure plus élevée dans le DSM-5. Nous avons constaté que les cas de DSM-5 détectés et non détectés par les critères de la CIM-11 étaient semblables à l'égard des données démographiques, des troubles mentaux comorbides, de l'utilisation des services et des variables de dépréciation, excepté que les cas détectés par la CIM-11 avaient un plus grand nombre de symptômes et étaient plus susceptibles d'avoir une dépendance probable aux drogues que les cas du DSM-5 non détectés. Les cas du DSM-5 détectés par la CIM-11 sont pour la plupart semblables aux cas non détectés par la CIM-11. En utilisant la CIM-11 plutôt que le DSM-5, nous pouvons faire en sorte que les personnes (semblablement) affectées soient mal desservies. Il est peu probable que des études purement épidémiologiques puissent résoudre cet écart, et il faudra peut-être des études de validité clinique. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
    • Abstract:
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