The Medieval Climate Anomaly in Oceania.

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    • Subject Terms:
    • Abstract:
      Temperatures in Oceania have risen by 0.5–1 °C over the past 100 years, resulting in significant retreat of New Zealand's glaciers as an example. To better understand natural and anthropogenic contributions to this warming process, the observed climatic change must be placed in a longer-term palaeotemperature context. Of interest is the Medieval Climate Anomaly (MCA, 1000–1200 AD), a recognized period of natural pre-industrial climate change, associated with marked temperature and hydroclimatic variability that is best known from the Northern Hemisphere. Temperature reconstructions for Oceania were traditionally based on two classical tree ring series. Here, we enlarge the Oceania reference data set with another 13 published temperature reconstructions from SE Australia, New Zealand, and West Papua. These are based on a variety of proxy types and help to geographically and methodologically augment the regional palaeoclimate database. The proxy series have been thoroughly compared and the MCA trends palaeoclimatologically mapped. Ten out of the 15 sites show a relatively warm MCA, compared to the last 1500 years, with warming generally occurring in the envelope period 900–1500 AD. In some sites of SE Australia and at the west coast of New Zealand's South Island, warming appears to be delayed by 200–300 years. The end of the medieval warming at around 1500 AD occurred about two centuries later than on most other continents, suggesting a possible interhemispheric climate lag mechanism possibly involving deep-water circulation. Likely drivers for the medieval warming in Oceania are atmospheric-ocean cycles such as the Southern Annular Mode and El Niño-Southern Oscillation, in combination with solar activity changes. MCA palaeotemperature data are still lacking for large parts of Oceania, namely the arid and tropical parts of Australia, Micronesia, central and northern Polynesia, as well as central and eastern Melanesia, highlighting the need for future research. [ABSTRACT FROM AUTHOR]
    • Abstract:
      Les températures en Océanie ont augmenté de 0,5 à 1 °C au cours des 100 dernières années, ce qui a entraîné, par exemple, un recul important des glaciers de la Nouvelle-Zélande. Afin de mieux comprendre les contributions naturelles et anthropiques à ce processus de réchauffement, le changement climatique observé doit être placé dans un contexte paléothermique à plus long terme. L'anomalie médiévale du climat (AMC, 1000–1200 après J.-C.), une période reconnue de changement climatique pré-industriel naturel, associée à une variabilité marquée de la température et hydroclimatique est mieux connue dans l'hémisphère Nord. Les reconstructions des températures pour l'Océanie reposaient traditionnellement sur deux séries d'anneaux d'arbres classiques. Ici, nous élargissons l'ensemble de données de référence de l'Océanie avec 13 autres publications de reconstructions des températures au sud-est de l'Australie, en Nouvelle-Zélande et en Papouasie occidentale. Celles-ci sont basées sur une variété de types de « proxy », et aident à augmenter géographiquement et méthodiquement la base de données régionale du paléoclimat. Les séries de proxy ont été soigneusement comparées et les tendances de l'AMC ont été cartographiées paléoclimatologiquement. Dix des 15 sites présentent une AMC relativement chaude, comparativement aux 1500 dernières années, avec le réchauffement se produisant généralement pendant la période de l'enveloppe 900–1500 après J.-C. Dans certains sites du sud-est de l'Australie et sur la côte ouest de l'île du Sud en Nouvelle-Zélande, le réchauffement semble être retardé de 200 à 300 ans. La fin du réchauffement médiéval vers 1500 après J.-C., environ deux siècles plus tard que sur la plupart des autres continents, suggère un mécanisme de décalage climatique possible entre les deux hémisphères impliquant peut-être la circulation en eau profonde. Les facteurs probables du réchauffement médiéval en Océanie sont des cycles atmosphériques-océaniques tels que le mode annulaire austral (« SAM ») et l'oscillation australe El Niño (« ENSO »), en combinaison avec des changements d'activité solaire. Il manque encore des données paléothermiques AMC pour de grandes parties de l'Océanie, à savoir les régions arides et tropicales d'Australie, de Micronésie, de Polynésie centrale et septentrionale, ainsi que de Mélanésie centrale et orientale, ce qui souligne le besoin de faire des recherches futures. [Traduit par la Rédaction] [ABSTRACT FROM AUTHOR]
    • Abstract:
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